ALICE D
ALICE D.

] D’où viens-tu, parle-nous de ta jeunesse ?
ALICE – Je suis née à Strasbourg, puis petite, mes parents se sont installés à l’île de la Réunion.
J’ai donc passé la plus grande partie de mon enfance sous le soleil et proche de la nature. Je suis arrivée à 14 ans en banlieue parisienne, ça a été un choc thermique et culturel aussi !
] Peux-tu nous parler de ton parcours personnel et professionnel ?
ALICE – J’ai toujours été très curieuse et hyper active. J’ai eu la chance de beaucoup voyager. J’ai 34 ans et déjà l’impression d’avoir eu plusieurs vies !
Pendant mes études, j’ai passé un an et demi à Shanghaï, j’apprenais le mandarin, autant dire que j’étais nulle et qu’il ne reste rien aujourd’hui.
Après l’école, je suis devenue productrice dans la publicité. J’ai travaillé quelques années à Paris avant de déménager à Londres. J’y suis restée près de 8 ans et c’est vraiment une ville qui m’a ouvert beaucoup d’horizons. J’ai aimé son côté multiculturel et l’ouverture d’esprit des gens, le fait de pouvoir être qui on veut sans jugement.
En 2018, je démissionne pour partir un an en Amérique du Sud. À ce moment, le yoga commence à prendre de plus en plus de place dans ma vie. À mon retour, je continue la production en freelance mais je ressens le besoin de donner plus de sens à ma carrière.
Je fais d’abord du travail humanitaire, avec les personnes en situation d’exil, avant de me tourner progressivement vers le yoga.
Aujourd’hui, je vis du yoga à plein temps, j’en suis fière car la route a été longue !

] Comment ta pratique sportive influence-t-elle ta vie au quotidien ?
ALICE – Pour moi, le yoga c’est plus qu’un sport. J’ai souffert d’un stress post-traumatique il y a plusieurs années et j’ai eu des difficultés avec l’anxiété et la dépression ensuite. Le yoga m’a aidé petit à petit à reconnecter avec mon corps et à reprendre confiance en moi.
C’est toujours ma soupape de décompression aujourd’hui, et l’outil qui me permet de me sentir bien dans mon corps comme dans ma tête.
À côté, je fais aussi du Pilates, un peu de muscu et, j’avoue, pas assez de cardio…
] Quel est ton objectif à chaque fois que tu rentres dans une salle pour donner un cours ?
ALICE – Chez RIISE, j’aime profiter du concept immersif non pas pour emmener les gens vers des postures de plus en plus avancées, mais pour créer un feeling, un ressenti dans le corps, une émotion.
Mon objectif c’est d’offrir un espace dans lequel tu déconnectes complètement de ton quotidien, tu es absorbé.e par l’obscurité et la musique, seul.e avec toi-même, ton corps et ton souffle. Tout le reste s’efface pendant 50 min.


] Ou trouves-tu ton inspiration pour tes flows ?
ALICE – Je pratique beaucoup chez moi, seule. Le fait d’être chez moi me donne l’opportunité d’explorer la pratique à mon rythme, d’essayer des mouvements, des transitions que je peux ensuite proposer dans mes cours. Je fais beaucoup au gré de mon mood.
Comme c’est un métier qui demande d’être souvent créative, quand j’ai besoin de sources d’inspiration, je prends des cours avec les profs que j’aime.
] Quel est ton style musical préféré et pourquoi ?
ALICE – J’ai beaucoup de personnalités musicales mais vraiment la bande son de ma vie, c’est un mélange de soul, de funk, et de rock. Ça ne s’explique pas, ce sont juste ces styles qui me créent le plus d’émotions.
] Si tu devais donner un conseil pour se sentir bien dans son corps et dans sa tête, lequel ce serait ?
ALICE – Être tolérant.e avec soi-même. Je trouve important de ne pas toujours être dans la course aux objectifs, au ‘toujours plus’, au ‘toujours mieux’. Comprendre que rien n’est jamais linéaire, il y a des moments de progression et des moments de régression dans tout ce qu’on fait, et aussi des moments où il ne se passe rien qui font partie de l’expérience.
Et moins de réseaux sociaux.
Tout le reste s’efface pendant 50 minutes.
– ALICE
] Que pourrais-tu dire à une personne qui n’ose pas pousser la porte de RIISE ?
ALICE –Je lui dirais d’y aller avec un ‘open mind’. Le yoga est une industrie très codifiée qui peut parfois impressionner et décourager certain.es de pratiquer. RIISE propose quelque chose hors de ces codes, c’est une invitation à explorer le mouvement d’une autre manière, peu importe si on pratique depuis longtemps ou pas.
] Qu’est-ce qui t’a donné envie de devenir coach ?
ALICE – Mon ami Vince (aussi coach RIISE et dynamo) m’a fait découvrir et aimé le concept RIISE. Grâce à lui, j’ai aussi découvert l’enseignement de Gabz (head coach) qui m’inspire beaucoup. J’ai tout de suite accroché avec le côté hybride de l’expérience, le fait d’emprunter à d’autres disciplines et de sortir d’un cadre parfois rigide pour pouvoir s’exprimer pleinement en tant que prof.
] Une phrase pour décrire RIISE
ALICE – Unique.

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CAMILLE
CAMILLE

] D’où viens-tu, parle-nous de ta jeunesse ?
CAMILLE – J’ai grandi principalement en Bretagne. Jusqu’au début du collège, j’étais près de Brest, sur la côte. Ensuite, mes parents ont déménagé régulièrement : j’ai fréquenté trois collèges et deux lycées, mais toujours principalement dans l’Ouest.
J’étais une enfant sage, presque effacée, très plongée dans mon monde intérieur. Je me reconnais encore parfois dans cette description.
] Peux-tu nous parler de ton parcours personnel et professionnel ?
CAMILLE – Après le lycée, je ne savais pas vraiment quoi faire. J’avais de bonnes notes, alors on m’a conseillé une classe préparatoire pour intégrer une grande école, la fameuse “voie royale”.
À défaut, j’ai choisi une école de commerce. C’est là que je me suis orientée vers le marketing. J’ai beaucoup voyagé et fait de nombreux stages. C’est d’ailleurs lors d’un échange aux Pays-Bas que j’ai suivi mon premier cours de yoga.
J’ai ensuite trouvé un poste qui avait du sens pour moi : analyste marketing dans le secteur du livre. Grande lectrice, ce marché me passionnait. Mais le monde de l’entreprise m’a rapidement déçue. Le sens que je cherchais devenait flou, alors je me suis reconvertie en septembre 2022.

] Comment ta pratique sportive influence-t-elle ta vie au quotidien ?
CAMILLE – Le sport fait partie intégrante de ma vie, depuis toujours. Passer à un métier non sédentaire a cependant beaucoup changé ma façon de m’entraîner. Je faisais auparavant des séances de musculation très exigeantes, mais je n’ai plus l’énergie pour maintenir ce niveau d’intensité en tant que coach.
Cela dit, je ne peux pas imaginer ma vie sans mouvement. C’est un exutoire, une source de relâchement et, parfois, de fierté. Oui, même les profs de yoga doivent travailler sur leur ego !
] Quel est ton objectif à chaque fois que tu rentres dans une salle pour donner un cours ?
CAMILLE – Être 100 % présente pour mes élèves. Une fois le cours commencé, plus rien n’existe que le flow, les indications, et l’attention portée à la posture des participants.
Mon objectif est d’emmener tout le monde avec moi, que chacun·e comprenne les mouvements, découvre son corps, et puisse déconnecter, ne serait-ce qu’un instant.


] Ou trouves-tu ton inspiration pour tes flows ?
CAMILLE – Dans ma pratique personnelle, les cours que je prends, et d’autres disciplines comme le mouvement, la danse ou la mobilité. J’utilise également ce sur quoi je travaille dans mon propre corps à l’instant T, comme la stabilisation d’une articulation ou l’équilibre.
] Quel est ton style musical préféré et pourquoi ?
CAMILLE – Difficile de choisir un seul style musical ! Mes playlists sont très éclectiques : RnB, soul, rock, électro… souvent avec une vibe chill. Spotify me recommande d’ailleurs souvent des morceaux “laid-back” ou électro-chill.
Plus que le style, ce que je cherche dans mes playlists, c’est de créer une ambiance enveloppante et accueillante.
] Raconte-nous la dernière fois que la musique t’a vraiment fait vibrer.
CAMILLE – Dans le quotidien. Chaque fois qu’elle colle parfaitement au moment que je vis. Par exemple, lorsque je suis dans le bus, musique dans les oreilles, et que tout s’emboîte parfaitement : l’état d’esprit, le paysage qui défile…
] Si tu devais donner un conseil pour se sentir bien dans son corps et dans sa tête, ce serait lequel ?
CAMILLE – La compassion. Être plus doux avec soi-même (et avec les autres). On vit dans un monde exigeant, axé sur la performance et la perfection. Ajouter un peu de souplesse, de lâcher-prise, et de courbes dans nos vies fait du bien.
Je pense aussi que les médias et réseaux sociaux déforment notre vision d’un corps “normal”. On oublie souvent tout le travail, la régularité et le temps nécessaires pour être à l’aise dans une activité. Il faut donc replacer les choses dans leur contexte et choisir ses aspirations en toute connaissance de cause.
Je veux emmener tout le monde avec moi, que chacun comprenne son corps et déconnecte, ne serait-ce qu’un instant.
– CAMILLE
] Que pourrais-tu dire à une personne qui n’ose pas pousser la porte de RIISE ?
CAMILLE – Il est important de se retrouver en position de débutant·e régulièrement. Cela permet de rester curieux·se, humble et ouvert·e à l’apprentissage.
Je comprends que cela puisse être intimidant, mais tout est fait pour que votre expérience soit agréable : le staff est adorable, les lieux magnifiques, et tout le matériel est fourni. L’obscurité de la salle aide aussi à se sentir moins observé·e.
] Qu’est-ce qui t’a donné envie de devenir coach ?
CAMILLE – Coach RIISE ? Plusieurs personnes m’ont parlé de RIISE et de ses auditions en une semaine. J’ai testé le cours de Nola, et j’ai été conquise. C’était exaltant, et j’ai voulu offrir cette même expérience.
Prof de yoga en général ? Je pratiquais depuis des années et voulais un métier plus libre et plus porteur de sens que mon poste marketing.
] Une phrase pour décrire RIISE
CAMILLE – Puissant et exaltant. L’intensité des enchaînements, le noir, la musique… Tout contribue à décupler les sensations et les émotions.

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Exemple d'article de blog
Qu'est-ce que le full contact (la boxe américaine) ?
Le full contact est une forme de kickboxing qui permet aux combattants d'utiliser une grande variété de techniques de frappe avec les poings et les pieds, tout en interdisant les frappes en dessous de la ceinture. Cette discipline combine la puissance et la précision de la boxe avec la dynamique et la diversité des coups de pied du karaté, offrant un sport de combat complet et compétitif. Le full contact se distingue par son approche directe du combat, où les combattants cherchent à surpasser leur adversaire à travers la force, la vitesse, et la stratégie.
L'histoire du full contact
Le full contact a émergé aux États-Unis dans les années 1970, lorsque les arts martiaux traditionnels ont commencé à intégrer des règles permettant des compétitions plus libres et plus intenses. Cette évolution a été motivée par le désir de créer un sport de combat qui soit à la fois spectaculaire à regarder et exigeant pour les pratiquants. Les pionniers du full contact voulaient tester leurs compétences en arts martiaux dans un format de combat qui permettait des coups puissants et directs, menant à la naissance de ce qui est aujourd'hui connu comme la boxe américaine.
Les coups autorisés
En full contact, les combattants peuvent utiliser une gamme étendue de techniques de frappe et d'esquive. Les coups de poing incluent les directs, les crochets, et les uppercuts, tandis que les coups de pied peuvent être des coups de pied frontaux, latéraux, et circulaires, à condition qu'ils soient portés au-dessus de la ceinture. Cette diversité de techniques permet aux combattants d'explorer différentes stratégies et combinaisons, rendant chaque combat unique et imprévisible.
Les techniques interdites
Pour assurer la sécurité des combattants, le full contact interdit certaines techniques, notamment les frappes en dessous de la ceinture, les coups de genou, les coups de coude, et toute forme de saisie ou de projection. Ces restrictions visent à minimiser le risque de blessures graves tout en maintenant l'essence du combat debout et en mouvement, où le timing, la distance, et la précision sont clés.
La différence avec la boxe anglaise
La principale différence entre le full contact et la boxe anglaise réside dans l'utilisation des coups de pied en full contact, offrant une dimension supplémentaire au combat. Alors que la boxe anglaise se concentre uniquement sur les techniques de frappe avec les poings, le full contact exige des combattants une maîtrise des techniques de frappe avec les pieds, augmentant ainsi les options offensives et défensives à leur disposition. Cette diversité rend le full contact particulièrement dynamique et exigeant, tant sur le plan physique que tactique.
Comment se pratique le full contact ?
Le full contact se pratique à travers une combinaison d'entraînements cardiovasculaires, de renforcement musculaire, et de techniques spécifiques de frappe et de déplacement. Les pratiquants passent beaucoup de temps à travailler sur les sacs de frappe, les pads, et à faire du sparring pour améliorer leur précision, leur puissance, et leur réactivité. Les séances d'entraînement intègrent également des exercices d'agilité et de coordination pour développer une bonne base de mouvement, essentielle pour exécuter des techniques de frappe efficaces tout en maintenant une défense solide.
Les règles du full contact
Les combats de full contact sont régis par un ensemble de règles qui définissent les techniques autorisées, les méthodes de scoring, et les équipements de protection requis. Les matchs se déroulent généralement en rounds, avec des juges attribuant des points pour les frappes précises, la technique, et le contrôle du ring. Les victoires peuvent être remportées par décision des juges, par KO technique ou par abandon de l'adversaire. Les règles précises peuvent varier selon les organisations, mais l'objectif reste de promouvoir un combat équitable et sécuritaire.
Full contact : les catégories de poids
Les compétitions de full contact sont divisées en catégories de poids pour assurer des matchs équitables. Ces catégories permettent de matcher des combattants de stature et de masse similaires, réduisant les avantages physiques inhérents aux différences de poids. Les catégories vont des poids plume, pour les plus légers, jusqu'aux poids lourds, pour les plus lourds, avec des intervalles spécifiques définissant chaque catégorie.
Full contact : quelles sont les catégories d'âge ?
Le full contact accueille des pratiquants de tous âges, des jeunes enfants aux vétérans. Les compétitions sont souvent structurées par tranches d'âge pour fournir une expérience compétitive adaptée et sécuritaire pour tous. Cela permet aux jeunes pratiquants de se développer au sein d'un cadre approprié à leur niveau de compétence et de maturité, tout en offrant aux adultes la possibilité de compétitionner contre des adversaires de niveau similaire.
La tenue
La tenue standard pour la pratique du full contact inclut un short de kickboxing et un haut léger ou sans manches, permettant une liberté de mouvement maximale pour les techniques de frappe et de déplacement. Cette tenue est conçue pour être fonctionnelle et confortable, facilitant la performance du combattant sans restriction.
Les protections obligatoires
Pour garantir la sécurité des combattants, le port d'équipements de protection est essentiel en full contact. Cela comprend des gants de boxe spécifiques, un protège-dents, et des protège-tibias. Un casque de protection peut également être requis, surtout dans les catégories de jeunes et les amateurs, pour prévenir les blessures à la tête. Pour les hommes, le port d'une coquille protectrice est obligatoire pour protéger les organes vitaux.
Comment se pratique le full contact ?
Le full contact se pratique généralement dans des clubs de boxe ou des écoles d'arts martiaux équipés pour accueillir ce type d'entraînement. Une session typique inclut un échauffement complet, des exercices de renforcement musculaire et cardiovasculaire, suivi d'un travail technique sur les combinaisons de coups de poing et de pied. Le sparring, une composante clé, permet aux pratiquants de mettre en application leurs compétences dans un contexte de combat réel, sous la supervision d'un entraîneur. L'accent est mis sur le contrôle, la technique, et le respect de l'adversaire, avec un équipement de protection adéquat pour minimiser le risque de blessure.
Les règles du full contact
Les règles du full contact visent à encadrer les combats de manière équitable et sécuritaire. Les combats sont divisés en rounds, la durée et le nombre pouvant varier selon le niveau de compétition. Les points sont attribués en fonction de la précision, de la puissance, et de l'efficacité des coups portés. Les combattants doivent rester en permanence actifs, cherchant à marquer des points tout en évitant les coups de leur adversaire. Les techniques interdites entraînent des pénalités, et le respect des règles est strictement surveillé par l'arbitre pour garantir un combat juste et respectueux.
Full contact : les catégories de poids
Pour assurer des combats équilibrés, le full contact est organisé en différentes catégories de poids, permettant aux combattants de s'affronter contre des adversaires de taille et de force similaires. Ces catégories vont des poids légers aux poids lourds, avec des critères précis de qualification basés sur le poids du combattant. Cette organisation contribue à la sécurité des combattants et à l'intégrité des compétitions, en évitant les déséquilibres physiques trop importants entre les adversaires.
Full contact : quelles sont les catégories d'âge ?
Le full contact est accessible à des pratiquants de tous âges, des enfants aux seniors. Les compétitions sont souvent organisées par tranches d'âge pour permettre à chacun de concourir dans un cadre adapté à son niveau de développement et d'expérience. Cela favorise une approche progressive de l'apprentissage et de la compétition, permettant aux jeunes pratiquants de se familiariser avec le sport dans un environnement sécurisé, et aux adultes de continuer à se challenger à tout âge.
La tenue
La tenue standard pour la pratique du full contact comprend généralement un short de boxe et un maillot ou une chemise ajustée. Cette tenue, légère et peu restrictive, est conçue pour permettre une liberté de mouvement maximale, essentielle pour exécuter les techniques de frappe et les déplacements avec efficacité. Les couleurs et les styles peuvent varier, reflétant souvent les couleurs de l'école ou du club.
Les protections obligatoires
Pour pratiquer le full contact en toute sécurité, le port d'équipements de protection est obligatoire. Cela inclut des gants de boxe spécifiques au full contact, un protège-dents, un casque de protection, des protège-tibias, et, pour les hommes, une coquille. Ces équipements sont essentiels pour réduire le risque de blessure lors des entraînements et des combats, en particulier pendant le sparring, où l'intensité peut être élevée.
Venez vous initier à la boxe chez PUNCH Boxing Studio
PUNCH Boxing Studio offre un cadre exceptionnel pour tous ceux qui souhaitent s'initier ou se perfectionner en boxe. Que vous soyez un débutant curieux de découvrir les bases de ce sport de combat ou un combattant expérimenté cherchant à affiner vos techniques et à aiguiser votre compétitivité, PUNCH est l'endroit idéal pour poursuivre votre passion.
Nos installations de pointe, combinées à une équipe d'entraîneurs professionnels et passionnés, fournissent un environnement d'entraînement optimal pour le full contact. Chez PUNCH, nous comprenons l'importance de la technique, de la stratégie et de la condition physique dans la préparation des combattants. C'est pourquoi nous proposons des programmes d'entraînement complets qui couvrent tous les aspects de la boxe à l'optimisation des déplacements et à l'amélioration de la condition physique.
En rejoignant PUNCH Boxing Studio, vous bénéficierez d'un accès à des cours structurés dans une atmosphère accueillante et motivante. Nos entraîneurs sont dédiés à aider chaque pratiquant à atteindre ses objectifs personnels, que ce soit pour la compétition, la self-défense, ou simplement pour être en meilleure forme physique.
L'engagement de PUNCH envers l'excellence ne se limite pas à la qualité de l'entraînement. Nous croyons fermement à la construction d'une communauté de pratiquants qui se soutiennent mutuellement dans leur quête d'amélioration personnelle et de dépassement de soi.
Conclusion
Le full contact est un sport de combat dynamique et exigeant qui offre de nombreux avantages, allant de l'amélioration de la condition physique à l'acquisition de compétences précieuses en self-défense. En choisissant de pratiquer le full contact, vous vous donnez les moyens de réaliser votre potentiel dans cet art martial.
Que vous souhaitiez compétitionner au plus haut niveau ou simplement explorer un nouveau mode d'expression physique, PUNCH Boxing Studio est prêt à vous accueillir et à vous accompagner dans votre voyage. Venez découvrir par vous-même pourquoi la boxe est tant appréciée à travers le monde et comment il peut enrichir votre vie.
CALY
CALY

] D’où viens-tu, parle-nous de ta jeunesse ?
CALY – Je suis née à Paris et j’ai grandi à Levallois-Perret jusqu’à mes 18 ans !
Dès le plus jeune âge, j’ai été baignée dans le sport, ayant des parents eux-mêmes très sportifs : danse classique trois fois par semaine au conservatoire ; moderne jazz, hip-hop, et course à pied avec mon père dès l’adolescence. Le sport a vraiment fait partie intégrante de mon éducation, cela a été la base pour apprendre la rigueur, la détermination, mais aussi le bien-être et la confiance en soi à des âges (parfois ingrats) où il peut être difficile de s’assumer tel que l’on est.
] Peux-tu nous parler de ton parcours personnel et professionnel ?
CALY – J’ai toujours été très indécise sur ce que je voulais faire ! Après mon bac, j’ai voulu suivre une filière assez générale pour ne pas m’enfermer dans un domaine en particulier. J’ai toujours été sociable et à l’aise en public, donc il m’a semblé logique de me tourner vers la communication. Après un master en poche et de multiples stages dans des domaines divers et variés (production, restauration, prêt-à-porter, stratégie, etc.), je suis partie à New York pour effectuer mon stage de fin d’études de 6 mois… qui a fini par se transformer en un vrai travail de presque 2 ans !
Ma vie a vraiment basculé à partir de ce moment-là. C’était la première fois de ma vie où je me retrouvais complètement hors de ma zone de confort : nouvelle ville, nouvelle langue, nouveaux amis, nouvelle mentalité. La meilleure expérience de ma vie, qui, je pense, a vraiment contribué à forger ma personnalité actuelle. Je suis finalement revenue à Paris, par raison et par amour, et j’y ai passé de belles années en travaillant dans la mode pour une grande agence de relations presse et publiques internationale. Après le Covid, ma vie a de nouveau basculé lorsque j’ai pris la décision de devenir coach et, depuis… here I am !

] Ou trouves-tu ton inspiration pour tes flows ?
CALY – Je puise mon inspiration de plusieurs manières, mais je travaille surtout au feeling et à l’intuition. J’adore poser mon tapis dans mon salon, partir d’un mouvement que j’aime et y trouver des variations. Ressentir et tester si ce que je ressens me plaît avant d’intégrer des mouvements à mes cours.
Je suis aussi très curieuse et j’aime tester tous les nouveaux concepts, pratiquer avec des coachs qui ne me ressemblent pas forcément. On a toujours quelque chose à retirer d’un cours, que ce soit en positif ou en négatif !
] Comment ta pratique sportive influence-t-elle ta vie au quotidien ?
CALY – Le mouvement est un peu mon remède magique contre tout. Je l’ai encore plus compris quand j’ai commencé à enseigner.
Comme tout le monde, j’ai des jours avec et des jours sans. Je suis souvent anxieuse, j’y travaille beaucoup, mais je sais pertinemment qu’à la minute où je prends ma première respiration sur le tapis, j’oublie tout le reste. Prendre quelques instants de ma journée pour me concentrer sur mes mouvements et rien d’autre, c’est vraiment mon équilibre physique et mental.


] Quel est ton objectif à chaque fois que tu rentres dans une salle pour donner un cours ?
CALY – Je fonctionne vraiment avec l’énergie de la salle ! Je veux essayer de communiquer un maximum d’énergie positive pour instaurer une véritable “safe place” dans mes cours. Aider mes élèves à prendre confiance en eux, en les accompagnant au maximum, quel que soit leur niveau. Plus je vois de sourires à la sortie de la salle, plus je me sens accomplie, et plus j’aime mon métier !
] Quel est ton style musical préféré et pourquoi ?
CALY – Le RnB et le hip-hop des années 90/2000, une véritable passion ! Je me souviens encore écouter les mêmes titres en boucle sur mon iPod quand j’étais ado. Une nostalgie qui fait du bien !!
] Raconte-nous la dernière fois que la musique t’a vraiment fait vibrer.
CALY – C’était lors d’une cérémonie de mariage. J’ai redécouvert une chanson que j’avais oubliée et que j’aime énormément, “To Zion” de Lauryn Hill. Ce titre incroyable, mêlé à un moment si solennel et à l’émotion qui l’accompagnait, m’a donné des frissons !
Prendre quelques instants de ma journée pour me concentrer sur mes mouvements et rien d’autre, c’est vraiment mon équilibre physique et mental.
– CALY
] Si tu devais donner un conseil pour se sentir bien dans son corps et dans sa tête, ce serait lequel ?
CALY – Tout est une question d’équilibre ! Il ne faut pas être trop dur avec soi-même. C’est super d’avoir des objectifs, mais il faut avant tout se faire confiance et prendre son temps pour y arriver.
] Que pourrais-tu dire à une personne qui n’ose pas pousser la porte de RIISE ?
CALY – On me dit souvent : “J’aimerais trop faire ton cours, mais j’ai trop peur de ne pas être à la hauteur.” Je trouve ça tellement dommage ! RIISE, c’est vraiment le seul moment de ta journée où tu vas prendre du temps pour toi. Plongé dans la pénombre et à la lumière des bougies, tu progresses à ton rythme et déconnectes dans ta bulle. Quel que soit ton niveau et ton objectif, tu te sentiras encore plus fort en sortant de la salle !
] Qu’est-ce qui t’a donné envie de devenir coach ?
CALY – Me réveiller chaque matin en faisant ce que j’aime !
] Une phrase pour décrire RIISE
CALY – Une parenthèse qui fait du bien.

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VINCE
VINCE


] D’où viens-tu, parle-nous de ta jeunesse ?
VINCE – Je suis né à Toulouse, mais j’ai passé toute mon enfance et mon adolescence à la campagne, au nord de la région toulousaine, près de la Garonne.
Je passais mes journées dehors, soit dans les champs de mes grands-parents maraîchers, soit sur la place de mon village avec mes amis d’enfance.
Une jeunesse active et studieuse, entre amis, terrains de handball et livres.
] Peux-tu nous parler de ton parcours personnel et professionnel ?
VINCE – Je voulais être commissaire priseur, donc j’ai eu un master en droit et un master en histoire de l’art.
Premier travail post-études dans une librairie.
À côté, je me suis mis à rouler chez dynamo et j’ai eu un coup de cœur pour la discipline, le lieu, l’équipe.
J’ai décidé de travailler auprès d’eux.
Au fur et à mesure, j’ai passé mes diplômes de coach sportif, de professeur de yoga, de pilates et de mobilité fonctionnelle, afin de proposer des séances qui reflètent ma personnalité.
] Où trouves-tu ton inspiration pour tes flows ?
VINCE – 90% de mon inspiration vient des livres, des films, de l’écoute d’albums, d’expositions ou des discussions avec mon entourage. Les 10% restants se trouvent dans ce que je peux voir sur Instagram et ce qui me semble intéressant à essayer de reproduire.
Je médite aussi (2 à 3 minutes maximum) afin de m’installer dans une atmosphère propice à explorer.
Puis, j’écris ce que je ressens en trois ou quatre mots clés.
Enfin, je développe avec un thème et des mouvements.
À la fin, je visualise le flow pour voir où ajouter ou enlever des choses.
] Comment ta pratique sportive influence-t-elle ta vie au quotidien ?
VINCE – Elle influence pleinement ma vie.
Les séances m’apportent de la joie, de la fraîcheur mentale et physique, ce qui est formidable.
Je termine mes journées avec un goût d’accomplissement personnel et d’appartenance à un collectif.
] Quel est ton objectif à chaque fois que tu rentres dans une salle pour donner un cours ?
VINCE – Je ne vise pas d’objectif.
J’entre à chaque fois avec le devoir de rester concentré, dédié et fidèle à ce que je souhaite proposer à la clientèle.
] Quel est ton style musical préféré et pourquoi ?
VINCE – Le jazz pour stimuler ma créativité et me rendre incroyablement heureux.
La musique expérimentale pour m’étonner et m’aider à naviguer dans tous les endroits de mon être.
] Raconte-nous la dernière fois que la musique t’as vraiment fait vibrer ?
VINCE – La semaine dernière, j’ai découvert l’album « 広い世界 と せまい世界 » de Rei Harakami.
Les 39 morceaux m’ont amené dans un autre univers.
“… Les séances m’apportent de la joie, de la fraîcheur mentale et physique, ce qui est formidable.
Je termine mes journées avec un goût d’accomplissement personnel et d’appartenance à un collectif.”
– VINCE



] Si tu devais donner un conseil pour se sentir bien dans son corps et dans sa tête, ce serait lequel ?
VINCE – Préférer le « mieux » au « plus ».
Chercher ce qui nous émeut et verbaliser ses émotions.
Boire beaucoup d’eau.
Faire des siestes.
Méditer.
Lire.
] Que pourrais-tu dire à une personne qui n’ose pas pousser la porte de RIISE ?
VINCE – Tu es si proche d’une belle expérience, viens – entre.
] Qu’est-ce qui t’a donné envie de devenir coach ?
VINCE – L’envie de vivre de l’enseignement d’activités aussi physiques que créatives comme celles de Monday.
] Un mot pour décrire RIISE
VINCE – Inspirant
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EVA
EVA


] D’où viens-tu, parle-nous de ton enfance ?
EVA – Je suis née à Chantilly dans l’Oise, j’ai fait toute ma scolarité là-bas. Je suis partie vivre à Paris à mes 20 ans quand j’ai voulu accorder tout mon temps au mannequinat.
] Peux-tu nous parler de ton parcours personnel et professionnel ?
EVA – Après mon BAC ES, j’ai arrêté pendant un an mes études pour travailler en tant que mannequin dans différents pays. Je suis allée à Taïwan et New York plusieurs mois. J’ai adoré mais c’était difficile parce que je me suis sentie très seule. Je pense que j’étais trop jeune, j’ai eu du mal à m’acclimater à de nouveaux environnements.
Alors après cette année, j’ai repris des études en commerce, pendant deux ans. Je me suis beaucoup investie mais je savais au fond de moi que je ne travaillerais jamais dans ce domaine.
Après avoir été diplômée, j’ai décidé de reprendre le mannequinat à temps plein. J’ai de nouveau voyagé notamment à Tokyo, une expérience que j’ai adoré mais qui m’a fait réaliser que l’endroit où je me sentais le mieux était Paris (je me suis faite tatouer une Tour Eiffel sur la cheville quand j’étais à New York et que j’avais le mal du pays !)
J’ai continué à travailler en France, et ce pendant plus de dix ans. Avec l’arrivée d’Instagram, l’activité a beaucoup changé. J’ai cherché d’autres pistes de carrière, je me suis formée à la fabrication de bijoux, j’ai monté une marque qui n’existe plus aujourd’hui faute de temps. Ce n’est que récemment, il y a trois ans, que je me suis formée en France et en Inde à l’enseignement du yoga. Je poursuis cette piste aujourd’hui avec le pilates et peut-être que j’élargirais encore un peu plus ça au fil du temps. J’ai du mal à tenir en place malgré mon calme apparent !
] Où trouves-tu ton inspiration pour tes flows ?
EVA – C’est assez aléatoire. Je peux très bien me mettre sur mon tapis, réfléchir et bouger, un mouvement après l’autre et un flow se crée. Je peux aussi choisir une posture, ou un thème et construire le flow autour de ça.
Parfois, je prends un cours avec un prof, j’aime bien un mouvement, une posture revisitée et j’essaie d’en faire autre chose.
] Comment ta pratique sportive influence-t-elle ta vie au quotidien ?
EVA – Je pense que la plupart du temps, on commence à faire du sport pour les bienfaits physiques et l’aspect extérieur du corps. C’est comme ça que je me suis mise au sport. C’est important, c’est vrai, mais si on s’attache uniquement à ça, on perd une partie des bienfaits de l’activité physique.
Aujourd’hui, le sport me permet de me déconnecter. Le temps de la séance, je ne pense à rien d’autre, je n’ai pas de téléphone.
De nature anxieuse, je me pose 100 questions à la minute et j’intériorise beaucoup ce qui m’arrive, on dit souvent de moi que je me noie dans un verre d’eau. Après une séance de sport, tout me semble plus clair et les choses deviennent plus faciles à gérer.
Le sport m’aide vraiment à m’apaiser mentalement. Et pour apprendre à apprécier les bénéfices du sport, c’est assez simple : il faut noter comment on se sent avant une séance (stress, agitation…) et après la séance (fierté, sérénité etc).
] Quel est ton objectif à chaque fois que tu rentres dans une salle pour donner un cours ?
EVA – J’essaie de faire lâcher prise mentalement aux personnes à qui je donne cours. Leur faire remarquer qu’en ayant bougé pendant 50 minutes, les aléas du quotidien se sont un peu éloignés. Peu importe si on réussit à faire tout ce que je demande de faire, le fait d’avoir essayé est déjà énorme.
] Quel est ton style musical préféré et pourquoi ?
EVA – Electro, house, des sons planants et dépaysants. C’est ce que j’écoute seule ou que j’aime entendre quand je sors. Je trouve ça très adapté au yoga et au format RIISE : on est moins tenté de tourner son attention sur des sons connus avec beaucoup de paroles, dans les flows on reste focus sur ce qu’on est en train de faire.
Je ne propose pas trop de musiques commerciales sauf pour les Burns et les bras du Pilates parce que je trouve ça motivant de connaître la chanson et de bouger en rythme dessus. Mais je ne suis pas très au fait des dernières sorties commerciales, donc ce sont des trucs que j’écoutais plus jeune.


“…C’est peut-être ça parfois qui freine : la peur du jugement, et si j’y arrive moins que les autres ? En étant dans la pénombre, on se retrouve dans une bulle, et ça laisse aussi moins de place à la comparaison.”
– EVA


] Si tu devais donner un conseil pour se sentir bien dans son corps et dans sa tête, ce serait lequel ?
EVA – Dormir ! Depuis que je suis coach, je vois l’importance d’un sommeil de qualité. Si je peux, je me couche après le dîner, à 22 heures. La fatigue joue sur le moral et la motivation, ce n’est pas tous les jours facile à mettre en place, mais dormir suffisamment c’est essentiel.
Mais aussi, évidemment, pratiquer une activité physique régulière : s’accorder du temps, une pause rien que pour soi. Pour faire travailler le corps et se vider la tête.
] Que pourrais-tu dire à une personne qui n’ose pas pousser la porte de RIISE ?
EVA – C’est vrai que ça peut paraître impressionnant quand on ne connaît pas. Mais déjà, dès l’accueil le staff te guide et t’oriente, à aucun moment tu te retrouves perdu dans les lieux. Je dis ça parce que personnellement, j’ai toujours un petit stress quand je pénètre dans un lieu que je ne connais pas pour la première fois. Aussi, la pratique est dans la pénombre, donc personne ne se voit réellement et s’observe.
] Qu’est-ce qui t’a donné envie de devenir coach ?
EVA – Il y a quelques années, j’allais tous les jours pédaler à dynamo. Je trouvais les coachs inspirants, j’adorais l’univers, la pénombre, les bougies, le dépassement de soi. Quand j’ai testé RIISE, je n’enseignais pas encore, mais c’était dans un coin de ma tête, je me suis dit : « si je deviens prof de yoga, j’adorerais enseigner ici ! »
Le format hybride RIISE, yoga et cardio, me semblait parfait en alliant tout ce que j’aime.
] Un mot pour décrire RIISE
EVA – C’est écrit sur le mur du studio, je trouve que ça résume bien l’expérience et je n’ai pas trouvé mieux : « inattendue intensité »
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AXEL
AXEL

] D’où viens-tu, parle-nous de ton enfance ?
AXEL –
Je suis né en banlieue parisienne et j’ai vécu à peu près toute ma vie entre Paris et sa banlieue.
Sans m’étaler sur ma vie, j’ai grandi dans un contexte familial assez commun avec mes 2 sœurs. La séparation de mes parents lorsque j’avais 10 ans a un peu bousculé les choses, mon opération de la jambe à 13 ans aussi.
Ces petites encoches dans ma jeunesse ont permis de créer du grain sur une enfance qui aurait été assez plate sinon.
J’étais un enfant assez timide et introverti, ma cicatrice à la jambe a été un frein vers la pratique sportive que j’ai vraiment découverte à 19 ans en commençant la boxe Thaï.
Je crois que les sports que j’ai pratiqué (yoga, escalade, boxe, handstand) m’ont permis de me réconcilier avec moi-même et de mieux accepter ma personnalité introvertie.
J’ai grandi dans un contexte qui sous-entendait que les pratiques du corps sont des pratiques « stupides » et que l’intellect se trouve ailleurs (dans les maths, la lecture, la musique …). C’est vraiment une des dichotomies les plus inexactes et condescendantes que je connaisse, les pratiques du corps sont des pratiques hyper intellectuelles, et c’est dans le monde du yoga que j’ai rencontré les gens les plus brillants que je connaisse.
] Peux-tu nous parler de ton parcours personnel et professionnel ?
AXEL – J’ai toujours bien aimé les maths, et du coup assez naturellement je me suis orienté vers une filière scientifique en passant par une prépa puis une école d’ingénieur en génie civil.
En parallèle, j’ai vraiment commencé le sport autour de 19 – 20 ans en m’inscrivant dans un club de boxe (lorsque je suis rentré en école d’ingénieur) et ça a été une révélation qui ne m’a pas lâché depuis (j’ai 29 ans)
Pour ce qui est du yoga, c’est ma meilleure amie Victoria qui me l’a fait découvrir durant l’été 2018, j’ai tout de suite adoré la pratique posturale et les sensations de calme et de clarté mentale qui suivaient la pratique. Le studio dans lequel j’ai ensuite pratiqué proposait une formation de 200h pour devenir prof, et c’est comme ça que je me suis mis à enseigner le yoga à partir de Janvier 2020.
En fin 2020, au milieu des différents confinements et de l’isolation qui les a accompagnés, je choisis de quitter mon métier d’ingénieur sans vraiment savoir ce que j’allais faire… et la suite vous la connaissez.

] Ou trouves-tu ton inspiration pour tes flows ?
AXEL – Instagram est une grosse source d’information et d’inspiration (malgré tout ce qu’on peut lui reprocher) mais de façon générale, le mouvement, les pratiques corporelles, la danse, le cirque, tout ça contribue à m’inspirer plus ou moins directement pour les flows que je propose.
Je prends aussi soin de beaucoup me former (dans le yoga et dans les pratiques de mouvement plus généralement) pour faire évoluer mon enseignement dans une direction plus fondée, précise, et juste par rapport à mes convictions.
] Comment ta pratique sportive influence-t-elle ta vie au quotidien ?
AXEL – Ma pratique sportive prend une place très importante dans ma vie, certains pourraient d’ailleurs trouver cela excessif. Depuis 5 ans je pratique l’équilibrisme (sur les mains) qui est un hobby très chronophage, en complément duquel je pratique toujours le yoga, et le renforcement musculaire comme fondation pour garder mon corps en bonne santé et continuer à faire ce que j’aime faire.
En gros, je pratique entre 5 et 6 fois par semaine, pour un total d’environ 15h par semaine (évidemment dans une intensité basse)
] Quel est ton objectif à chaque fois que tu rentres dans une salle pour donner un cours ?
AXEL – Mon objectif principal c’est de faire en sorte que les gens se sentent bien en ressortant du cours.




] Quel est ton style musical préféré et pourquoi ?
AXEL – J’ai grandi en écoutant du rock, c’est d’ailleurs toujours un de mes styles musicales préféré.
Mais enseigner chez RIISE m’a poussé à m’ouvrir à une palette hyper large de styles et d’artistes, ce qui rend l’exercice de définir mon style assez difficile.
Du coup je te propose de venir le découvrir en prenant un cours avec moi.
] Si tu devais donner un conseil pour se sentir bien dans son corps et dans sa tête, ce serait lequel ?
AXEL – Dormir. C’est vraiment simpliste mais s’arranger pour dormir en moyenne 8h par nuit c’est vraiment ça le cheat code.
Aujourd’hui, on est bombardés de biohack sur les réseaux visant à être plus performant, mieux récupérer, être plus souple ou plus fort… Mais littéralement aucune de ces solutions un peu miraculeuses n’arrive à la cheville d’une bonne nuit de sommeil.
Ah et j’ajouterais que si on vous promet quelque chose qui à l’air un peu trop beau pour être vrai, c’est probablement que ça l’est. Malheureusement, les gens mentent sur internet, réinterprète des études voire en publient avec de gros conflits d’intérêt.
Donc économisez en arrêtant d’acheter des compléments alimentaires sophistiqués et investissez dans un bon lit à la place.
] Que pourrais-tu dire à une personne qui n’ose pas pousser la porte de RIISE ?
AXEL – Le plus important c’est de se mettre en mouvement, peu importe le niveau, la souplesse ou l’âge.
Je pense que RIISE a cette force à travers la pénombre et le cadre intimiste d’être rassurant pour les personnes qui ne sont pas forcément à l’aise avec l’idée de faire du sport.
“…faire en sorte que les gens se sentent bien en ressortant du cours.”
– AXEL
] Qu’est-ce qui t’a donné envie de devenir coach ?
AXEL – Initialement, je suis devenu coach par envie de rendre ce qu’on m’avait apporté, c’est quelque chose qui avait du sens pour moi.
Aujourd’hui, c’est toujours quelque chose qui m’anime, mais j’ai également envie d’apporter davantage de sérieux, de bon sens et de clarté dans le monde du yoga (et c’est la raison pour laquelle je me tourne de plus en plus vers la formation).
] Un mot pour décrire RIISE
AXEL – Immersive.
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NOLA
NOLA

] D’où viens-tu, parle-nous de ton enfance ?
NOLA – J’ai grandi en région parisienne quasiment toute ma vie. Enfant je n’étais pas du tout sportive, ce n’est pas quelque chose avec lequel j’ai grandi.
J’ai en revanche fait énormément d’équitation, une passion qui m’a été transmise par ma mère mais j’ai arrêté assez tôt vers 15 ans. J’étais plutôt timide, toujours en train de lire.
J’ai découvert le plaisir du sport avec la pratique du yoga qui m’avait été conseillée par mon kiné après ma première opération des ligaments croisés. Coup de foudre immédiat.
] Peux-tu nous parler de ton parcours personnel et professionnel ?
NOLA – J’ai passé un master de psychologie clinique et de psychopathologie en 2015. Depuis, j’exerce en tant que psychologue clinicienne.
J’ai travaillé 3 ans en psychiatrie adulte en tant que psychologue avant de m’installer en libéral quand l’enseignement du yoga a commencé à prendre plus de place.
Aujourd’hui je cumule les deux casquettes et j’adore ça. Je continue de me former dans l’un comme dans l’autre avec grand plaisir et je ne me verrais vraiment pas en arrêter un.

] Ou trouves-tu ton inspiration pour tes flows ?
NOLA – Je pense que je trouve mon inspiration dans le mouvement en général. J’aime tout ce qui est flowy, j’adore la souplesse mais j’aime particulièrement l’approcher en contrôle avec un engagement musculaire.
Je cours, je vais à la salle, je grimpe de temps en temps.
Tout ça ce sont des sources d’inspirations en soi car ce sont des manières différentes de connecter à son corps.
J’essaie aussi de continuer à prendre les cours d’autres profs quand j’ai le temps (trop rarement) mais surtout ce sont des moments où juste j’explore sur mon tapis sans prévoir.
] Comment ta pratique sportive influence-t-elle ta vie au quotidien ?
NOLA – Le sport à une grande place dans ma vie privée mais aussi sociale.
Ce sont des moments que j’aime beaucoup partager même si j’apprécie aussi de pratiquer ou de courir seule. C’est vraiment devenu quelque chose d’essentiel dans mon quotidien. Ça me permet de relâcher la pression, de faire le vide, mais ce sont aussi des moments de plaisir et d’échanges quand je suis avec des amis !
C’est aussi un moyen de connecter à moi-même, de me sentir capable, de me sentir fière de ce que je fais.
] Quel est ton objectif à chaque fois que tu rentres dans une salle pour donner un cours ?
NOLA – Juste de transmettre un truc de bienveillance et de lâcher prise.
Peu importe le niveau, la performance, mon but c’est que les gens explorent, se fassent confiance. Je souhaite qu’ils sortent avec ce petit truc de plaisir et de confiance en soi et en son corps.




] Quel est ton style musical préféré et pourquoi ?
NOLA – J’ai un style très éclectique mais principalement le rnb, passion transmise par mes parents. J’ai grandi avec ce style musical et les films de danse style Step up ou Street dancer.
] Si tu devais donner un conseil pour se sentir bien dans son corps et dans sa tête, ce serait lequel ?
NOLA – Se détacher de l’extérieur, juste bouger pour soi, faire pour soi indépendamment du regard des autres, trouver quelque chose qui nous plaise vraiment.
] Que pourrais-tu dire à une personne qui n’ose pas pousser la porte de RIISE ?
NOLA – Je lui dirais de se détacher des attentes et de se faire confiance, de faire confiance à la musique et à l’énergie de la salle.
Se détacher de l’extérieur, juste bouger pour soi, faire pour soi indépendamment du regard des autres.
Trouver quelque chose qui nous plaise vraiment.
– NOLA
] Qu’est-ce qui t’a donné envie de devenir coach ?
NOLA – Ma copine Ludivine ahah. J’adore la musique et j’adore enseigner.
Riise c’était l’occasion de mêler les deux. De partager la pratique que j’aime et mon univers musical.
Je trouve que l’alliance des deux permet de faire passer plein de choses.
] Un mot pour décrire RIISE
NOLA – Planer, relâcher, explorer .
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LUDIVINE
LUDIVINE

] D’où viens-tu, parle-nous de ton enfance ?
LUDIVINE – Je viens de Normandie mais j’ai vécu la majeure partie de mon adolescence à Montpellier car mes parents ont déménagé là-bas quand j’avais 15 ans. J’ai une sœur d’un an mon aînée qui vit dans le Sud de la France également.
] Peux-tu nous parler de ton parcours personnel et professionnel ?
LUDIVINE – Être professeure de yoga est une reconversion professionnelle. J’ai été avocate et juriste pendant quelques années avant de me consacrer à l’enseignement du yoga. J’ai beaucoup aimé mes études de droit, la théorie, mais la réalité du monde du travail en salariat m’a rattrapé. Je n’étais pas épanouie et j’avais l’impression d’être enfermée.
Je crois que j’ai une âme d’indépendante qui me vient de ma famille. Ma reconversion n’a pas été un long fleuve tranquille, semé de doutes et de questionnements mais je suis complètement alignée et épanouie avec ce que je fais aujourd’hui.
Si l’histoire de ma reconversion professionnelle vous intéresse vous pouvez écouter mon Podcast les Yogis Preneurs où j’y consacre un épisode : le lien est ici.
J’ai beaucoup voyagé et je me suis formée en Inde. C’est une des plus belles périodes de ma vie !

] Ou trouves-tu ton inspiration pour tes flows ?
LUDIVINE – Sur mon tapis, en explorant ma pratique, mais aussi en prenant des cours d’autres professeurs qui m’inspirent, en essayant parfois de sortir du cadre strict du yoga via d’autres disciplines.
Je suis quelqu’un de très pragmatique donc j’ai besoin que tout soit cadré et logique (mon côté fac de droit) tout en infusant quelques touches de créativité.
] Comment ta pratique sportive influence-t-elle ta vie au quotidien ?
LUDIVINE – Je me demande toujours comment font les personnes qui ne font pas du tout de sport. Ce n’est pas un jugement mais un réel questionnement.
Faire du sport permet de se recentrer, de se dépenser, de se déconnecter … pour moi il est essentiel dans l’équilibre de ma vie et à mon bonheur.
] Quel est ton objectif à chaque fois que tu rentres dans une salle pour donner un cours ?
LUDIVINE – Je n’ai pas d’objectif à proprement parler mais je dirais que j’aspire à faire du bien aux gens. Mon métier a beaucoup de sens pour moi car il permet de rendre la journée plus agréable pour quelqu’un.
Il n’y a pas plus beau pour moi que de voir l’évolution d’un élève qui vient pour la première fois à un cours de yoga et quand c’est la dixième, la vingtième fois … et qu’on le voit s’épanouir sur son tapis et gagner en conscience corporelle.
J’aspire à ce que les gens touchent du doigt tout ce que le yoga (et toute pratique sportive en général) peut leur apporter dans leur vie en général.




] Quel est ton style musical préféré et pourquoi ?
LUDIVINE – J’écoute beaucoup d’Indie Rock, car ma meilleure amie d’enfance est une férue de ce style : j’ai donc toujours baigné dedans. Maintenant je m’ouvre un peu plus à d’autres styles et notamment pour RIISE je préfère trouver des musiques plus chill, enivrantes, sans ou avec très peu de paroles.
Je trouve que cela permet d’emporter beaucoup dans l’expérience.
] Si tu devais donner un conseil pour se sentir bien dans son corps et dans sa tête, ce serait lequel ?
LUDIVINE – Faire du sport, celui qui vous correspond et vous plait. Faire des choses simples et les apprécier. Essayer des activités créatives/manuelles.
] Que pourrais-tu dire à une personne qui n’ose pas pousser la porte de RIISE ?
LUDIVINE – De mettre de côté ses aprioris et d’essayer, il se passe de belles choses derrière la porte et c’est ouvert à tous.
Faire du sport, celui qui vous correspond et vous plait. Faire des choses simples et les apprécier. – LUDIVINE
] Qu’est-ce qui t’a donné envie de devenir coach ?
LUDIVINE – J’ai débuté l’aventure RIISE grâce à la rencontre avec Gabrielle, headcoach RIISE, en qui j’ai confiance. Je me suis dit que ce serait forcément quelque chose de bien si elle en faisait partie. Puis je me suis prise au jeu : du micro, de la salle dans la pénombre, de l’énergie, de la précision verbale, d’un tout … qui fait qu’aujourd’hui je prends beaucoup de plaisir à être coach chez RIISE.
] Un mot pour décrire RIISE
LUDIVINE – Puissant.
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MATHILDE
MATHILDE

] D’où viens-tu ?
MATHILDE – De Paris. (chacun ses défauts)
] Peux-tu nous parler un peu de ta jeunesse ?
MATHILDE – J’ai grandi dans une famille très soudée. Après le décès de mon papa quand j’avais 4 ans j’ai été élevée un peu par chaque membre de ma famille (ma mère, mes grands-parents, mon oncle, mes cousins). Ils ont chacun déteint sur la personne que je suis devenue. À la maison c’est ambiance no-filter, on débat de tout, on parle fort, on rigole et surtout on mange !
] Peux-tu nous parler de ton parcours personnel et professionnel ?
MATHILDE –
Côté perso je suis une boule d’énergie qui se pose 100 questions à la minute. Avec les années, j’essaye de me concentrer sur les choses qui me rendent heureuse et de libérer mon temps et mon énergie pour me sentir utile. Je suis également portée par mes proches, notamment mon compagnon Franck qui me soutient toujours.
Côté pro, à côté du Yoga je suis freelance en e-commerce et j’adore switcher entre ces deux métiers.

] Qu’est-ce que tu aimes dans le sport ? Quelles activités pratiques-tu ?
MATHILDE – J’aime l’idée de communiquer avec mon corps. Je trouve ça fascinant de découvrir à chaque séance ce dont il est capable. J’adore me dépasser, explorer mes limites et me rendre compte de tout ce que je peux encore apprendre. Je fais du yoga (obviously), du HIIT et pendant longtemps j’ai fait du kick-boxing.
] Qu’est-ce que t’apporte le mouvement ?
MATHILDE – Un espace d’expression sans limite. Sans à priori ou cliché, il n’y a pas de mouvements féminins ou masculins, de mouvement beau ou moche, tout est à sa place quand on bouge. Ça me décomplexe.
] Comment et pourquoi as-tu commencé le yoga ?
MATHILDE – J’ai démarré une pratique régulière du yoga pendant le premier confinement. J’ai été très malade du COVID et ça a été mon moyen de me remettre sur pieds. J’ai progressivement découvert un yoga qui me plaisait et c’est devenu une pratique indissociable de mon quotidien.


] Quelle est ta formation en yoga ?
MATHILDE – J’ai une formation 200H en ostéo yoga avec Le Moderne Yoga, un 30H en anatomie du yoga et un 30H en yoga pré et post natal. Je prépare une autre formation de 30H en postures avancées.
] Où pratiques-tu le yoga ?
MATHILDE – Un peu partout, avec ou sans tapis ! Je ne me fixe pas trop de règles, on peut me retrouver en train de “pratiquer” dans n’importe quel contexte.
] Où trouves-tu l’inspiration pour tes flows ?
MATHILDE – Chez les autres ! Regarder les corps bouger dans mes cours, c’est déjà une première source d’inspiration car j’imagine tout ce qu’on pourrait explorer. Les cours d’autres profs sont également une énorme source d’inspiration, ils m’aident à m’enrichir.

Chacun peut trouver sa propre pratique sans avoir à subir un cadre ou une norme.
– MATHILDE
] Qu’est ce que le yoga t’apporte en plus ?
MATHILDE – Une indulgence et une bienveillance avec moi et mon corps.
] Qu’est-ce que RIISE t’apporte ?
MATHILDE – La sensation d’être à ma place. Je suis Mathilde à 100% et j’y partage beaucoup de choses même parfois intimes sur comment j’appréhende la vie, les moments forts, mes apprentissages et les choses plus dures. Je trouve ça fou que des élèves s’identifient à ce que je propose. Ça me donne confiance dans le fait de continuer à être moi.
] Est-ce que RIISE c’est du yoga ?
MATHILDE – Vaste sujet ! Je pense que cela dépend de la définition de chacun. Pour ma part, je trouve ça prétentieux d’affirmer savoir exactement ce qu’est le Yoga de manière universelle alors que cela dépasse la sphère physique. Chacun peut trouver sa propre pratique sans avoir à subir un cadre ou une norme. Pour moi RIISE se place exactement dans le courant de yoga moderne.

] Un mot pour décrire RIISE
MATHILDE – Unique.
] Comment décrirais-tu ton univers et ton style de coach. Quel est ton objectif à chaque fois que tu rentres dans une salle pour donner un cours ?
MATHILDE – Je pense être une coach avec un univers entre intensité et douceur extrême. J’aime créer, bouger librement, trouver une direction corporelle et l’exploiter jusqu’à son paroxysme. Je prends un vrai plaisir aussi à nouer des liens avec mes élèves et les voir progresser. Quand je rentre dans la salle, je veux qu’ils s’amusent, qu’ils se sentent à l’aise dans leurs corps et fiers de ce qu’ils réalisent. J’aime me dire que j’aurais kiffé prendre le cours qu’ils ont vécu.
] Quelle est la place de la musique dans ton quotidien et dans tes cours ?
MATHILDE – Depuis 2 ans maintenant la musique occupe beaucoup de place dans ma vie. Je cherche de nouveaux sons en continu avec des sessions de digging très intenses à regarder des sets entiers d’artistes sur Youtube pour dénicher des pépites, je fouille les recoins de Spotify, Soundcloud et autres sites de musique… Dans mes cours, chaque playlist a sa couleur, j’essaye d’infuser une proposition musicale forte avec un fil conducteur qui suit les mouvements que je veux transmettre.

La seule personne qui sait ce qui se passe à l’intérieur de toi, c’est TOI.
– MATHILDE
] Quel est ton style musical préféré et pourquoi ?
MATHILDE – Techno dans toutes ses ambiances ! (car oui la techno c’est pas que du boum boum de hangar). J’aime beaucoup d’artistes, mais allez je donne mon top 3 du moment : Julian Muller, Anetha et Marlon Hoffstadt.
] Raconte nous un moment où la musique t’as vraiment fait vibrer
MATHILDE – J’en ai 2. Le premier c’était au Delta Festival mon premier orgasme musical sur Jeff Mills, j’ai fermé les yeux et je les ai rouverts 2h après ! Le deuxième, c’est dès que je vais voir I Hate Models, il me colle des frissons comme personne : jamais déçue !
] Qu’est ce qui t’inspire ?
MATHILDE – Presque tout, mais principalement les gens qui ont le courage d’être eux-même, sans filtre.
] Quand est-ce que tu te sens vraiment fière de toi ?
MATHILDE – Quand mon mec me dit que ma playlist RIISE était vraiment stylée ! Et quand j’ose faire quelque chose de nouveau sans me limiter à l’avis des gens ou si c’est “cool”.
] Si tu devais donner un conseil pour se sentir bien dans son corps et dans sa tête, ce serait lequel ?
MATHILDE – Être sensible. Je répète souvent dans les cours : la seule personne qui sait ce qui se passe à l’intérieur de toi, c’est TOI. Impose tes limites, sens toi légitime de ressentir, d’avoir des émotions et dédramatise le besoin de les exprimer.
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