Ilona Feuillate, auteur/autrice sur riise studios

AMÉLIE

AMÉLIE

] D’où viens-tu, parle-nous de ta jeunesse ?

AMÉLIE – J’ai grandi dans les Yvelines, au sein d’une famille nombreuse et bi-culturelle. Mon père est nigérian, ma mère française, et j’ai quatre frères et sœurs. Les études étaient importantes pour mes parents, mais ils ont toujours accordé une place essentielle au sport et à la musique.

J’ai pratiqué la danse classique et le piano pendant dix ans, deux disciplines très formatrices. J’ai aussi fait de la natation en compétition. J’adorais nager, mais les compétitions me stressaient énormément, donc ça n’a pas duré aussi longtemps. Ces expériences ont vraiment façonné mon rapport au corps et au mouvement dès mon plus jeune âge.

] Peux-tu nous parler de ton parcours personnel et professionnel ?

AMÉLIE – J’ai suivi des études de droit à Nanterre, Paris et à Londres. J’ai ensuite naturellement commencé une carrière de juriste en entreprise, sans forcément me poser beaucoup de questions à ce moment-là.
C’est à cette époque que j’ai découvert le yoga vinyasa, et j’ai eu un vrai coup de cœur pour cette pratique, proche par certains aspects de la danse.
Quelques années plus tard, j’ai ressenti le besoin de m’investir plus profondément dans cette pratique. J’ai passé ma formation de professeur de yoga en 2022, et donné mon premier cours en studio peu de temps après.
Puis, j’ai découvert le Pilates, et là encore, ça a été une révélation. C’est une pratique très consciente, centrée sur la respiration, la posture et le mouvement lent, que je trouve profondément apaisante et exigeante à la fois.

] Comment ta pratique sportive influence-t-elle ta vie au quotidien ?

AMÉLIE – Le sport est essentiel pour moi. C’est avant tout un moyen de me retrouver, de créer une bulle où je peux respirer et me recentrer, plutôt que d’être dans mes pensées.

Ma pratique sportive a changé depuis que j’ai découvert le yoga, avant je choisissais mes activités sportives pour “rester en forme”.

Le yoga m’a appris à voir mon corps autrement : comme un allié à renforcer et à assouplir, pour me sentir bien au quotidien et tout au long de ma vie. Aujourd’hui, ma pratique tourne autour de ces piliers : force, mobilité et, depuis peu, le cardio avec la course à pied, sans me fixer d’objectifs de performance précis, juste pour le plaisir de bouger et d’explorer.

] Quel est ton objectif à chaque fois que tu rentres dans une salle pour donner un cours ?

ALMÉLIEA côté des objectifs propres à la pratique, mon but est de créer une ambiance détendue où les gens se sentent à l’aise, qu’ils puissent se déconnecter et profiter pleinement du moment, avec une ambiance cool et agréable.

] Où trouves-tu ton inspiration pour tes flows ?

AMÉLIE – Mon inspiration vient aussi bien de mes pratiques personnelles en yoga & Pilates que des cours d’autres professeurs que je prends. J’essaye de trouver un équilibre entre force et mobilité dans mes cours.

] Quel est ton style musical préféré et pourquoi ?

AMÉLIE – L’Afrobeats, sans hésitation ! C’est ce que j’écoute le plus au quotidien. J’adore l’énergie qui se dégage de cette musique — qu’elle soit douce ou plus dynamique.

] Si tu devais donner un conseil pour se sentir bien dans son corps et dans sa tête, lequel ce serait ?

AMÉLIE – Avant de changer de vie, je manquais vraiment de confiance en moi. Ce qui a changé, c’est ma façon de voir la vie. Au quotidien comme dans le sport, j’essaye de célébrer tous mes succès, même les plus petits et m’inspirer des personnes autour de moi pour me lancer dans mes propres projets, plutôt que de me comparer négativement aux autres.

Chaque personne est unique, avec son propre corps, son histoire et son expérience.

– AMÉLIE

] Que pourrais-tu dire à une personne qui n’ose pas pousser la porte de RIISE ?

AMÉLIE – De ne pas avoir peur. Tous les élèves qui reviennent aujourd’hui ont fait une première séance, les coachs aussi !

Chaque personne est unique, avec son propre corps, son histoire et son expérience. Ce qui compte ici, c’est de venir pour soi, pas pour se comparer aux autres. L’énergie chez RIISE est bienveillante — on est là pour se faire du bien, ensemble.

] Qu’est-ce qui t’a donné envie de devenir coach ?

AMÉLIE – La première fois que je suis venue chez RIISE, en tant qu’élève, j’ai adoré l’ambiance. C’était un cours de Florian (<3). Bouger dans la pénombre avec la musique qui nous enveloppe était vraiment une expérience unique. Je me suis sentie tellement bien dans ce studio que je me suis tout de suite imaginée en tant que coach. Et aujourd’hui, me voilà !

] Une phrase pour décrire RIISE

AMÉLIE – Une expérience unique.

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ALICE D

ALICE D.

] D’où viens-tu, parle-nous de ta jeunesse ?

ALICEJe suis née à Strasbourg, puis petite, mes parents se sont installés à l’île de la Réunion.

J’ai donc passé la plus grande partie de mon enfance sous le soleil et proche de la nature. Je suis arrivée à 14 ans en banlieue parisienne, ça a été un choc thermique et culturel aussi !

] Peux-tu nous parler de ton parcours personnel et professionnel ?

ALICE J’ai toujours été très curieuse et hyper active. J’ai eu la chance de beaucoup voyager. J’ai 34 ans et déjà l’impression d’avoir eu plusieurs vies ! 

Pendant mes études, j’ai passé un an et demi à Shanghaï, j’apprenais le mandarin, autant dire que j’étais nulle et qu’il ne reste rien aujourd’hui. 

Après l’école, je suis devenue productrice dans la publicité. J’ai travaillé quelques années à Paris avant de déménager à Londres. J’y suis restée près de 8 ans et c’est vraiment une ville qui m’a ouvert beaucoup d’horizons. J’ai aimé son côté multiculturel et l’ouverture d’esprit des gens, le fait de pouvoir être qui on veut sans jugement. 

En 2018, je démissionne pour partir un an en Amérique du Sud. À ce moment, le yoga commence à prendre de plus en plus de place dans ma vie. À mon retour, je continue la production en freelance mais je ressens le besoin de donner plus de sens à ma carrière. 

Je fais d’abord du travail humanitaire, avec les personnes en situation d’exil, avant de me tourner progressivement vers le yoga. 

Aujourd’hui, je vis du yoga à plein temps, j’en suis fière car la route a été longue !

] Comment ta pratique sportive influence-t-elle ta vie au quotidien ?

ALICE – Pour moi, le yoga c’est plus qu’un sport. J’ai souffert d’un stress post-traumatique il y a plusieurs années et j’ai eu des difficultés avec l’anxiété et la dépression ensuite. Le yoga m’a aidé petit à petit à reconnecter avec mon corps et à reprendre confiance en moi.

C’est toujours ma soupape de décompression aujourd’hui, et l’outil qui me permet de me sentir bien dans mon corps comme dans ma tête. 

À côté, je fais aussi du Pilates, un peu de muscu et, j’avoue, pas assez de cardio…

] Quel est ton objectif à chaque fois que tu rentres dans une salle pour donner un cours ?

ALICEChez RIISE, j’aime profiter du concept immersif non pas pour emmener les gens vers des postures de plus en plus avancées, mais pour créer un feeling, un ressenti dans le corps, une émotion.

Mon objectif c’est d’offrir un espace dans lequel tu déconnectes complètement de ton quotidien, tu es absorbé.e par l’obscurité et la musique, seul.e avec toi-même, ton corps et ton souffle. Tout le reste s’efface pendant 50 min.

] Ou trouves-tu ton inspiration pour tes flows ?

ALICE Je pratique beaucoup chez moi, seule. Le fait d’être chez moi me donne l’opportunité d’explorer la pratique à mon rythme, d’essayer des mouvements, des transitions que je peux ensuite proposer dans mes cours. Je fais beaucoup au gré de mon mood.

Comme c’est un métier qui demande d’être souvent créative, quand j’ai besoin de sources d’inspiration, je prends des cours avec les profs que j’aime.

] Quel est ton style musical préféré et pourquoi ?

ALICE J’ai beaucoup de personnalités musicales mais vraiment la bande son de ma vie, c’est un mélange de soul, de funk, et de rock. Ça ne s’explique pas, ce sont juste ces styles qui me créent le plus d’émotions.

] Si tu devais donner un conseil pour se sentir bien dans son corps et dans sa tête, lequel ce serait ?

ALICEÊtre tolérant.e avec soi-même. Je trouve important de ne pas toujours être dans la course aux objectifs, au ‘toujours plus’, au ‘toujours mieux’. Comprendre que rien n’est jamais linéaire, il y a des moments de progression et des moments de régression dans tout ce qu’on fait, et aussi des moments où il ne se passe rien qui font partie de l’expérience. 

Et moins de réseaux sociaux.

Tout le reste s’efface pendant 50 minutes.

– ALICE

] Que pourrais-tu dire à une personne qui n’ose pas pousser la porte de RIISE ?

ALICEJe lui dirais d’y aller avec un ‘open mind’. Le yoga est une industrie très codifiée qui peut parfois impressionner et décourager certain.es de pratiquer. RIISE propose quelque chose hors de ces codes, c’est une invitation à explorer le mouvement d’une autre manière, peu importe si on pratique depuis longtemps ou pas.

] Qu’est-ce qui t’a donné envie de devenir coach ?

ALICEMon ami Vince (aussi coach RIISE et dynamo) m’a fait découvrir et aimé le concept RIISE. Grâce à lui, j’ai aussi découvert l’enseignement de Gabz (head coach) qui m’inspire beaucoup. J’ai tout de suite accroché avec le côté hybride de l’expérience, le fait d’emprunter à d’autres disciplines et de sortir d’un cadre parfois rigide pour pouvoir s’exprimer pleinement en tant que prof.

] Une phrase pour décrire RIISE

ALICE – Unique.

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CAMILLE

CAMILLE

] D’où viens-tu, parle-nous de ta jeunesse ?

CAMILLE – J’ai grandi principalement en Bretagne. Jusqu’au début du collège, j’étais près de Brest, sur la côte. Ensuite, mes parents ont déménagé régulièrement : j’ai fréquenté trois collèges et deux lycées, mais toujours principalement dans l’Ouest.

J’étais une enfant sage, presque effacée, très plongée dans mon monde intérieur. Je me reconnais encore parfois dans cette description.

] Peux-tu nous parler de ton parcours personnel et professionnel ?

CAMILLE – Après le lycée, je ne savais pas vraiment quoi faire. J’avais de bonnes notes, alors on m’a conseillé une classe préparatoire pour intégrer une grande école, la fameuse “voie royale”.

À défaut, j’ai choisi une école de commerce. C’est là que je me suis orientée vers le marketing. J’ai beaucoup voyagé et fait de nombreux stages. C’est d’ailleurs lors d’un échange aux Pays-Bas que j’ai suivi mon premier cours de yoga.

J’ai ensuite trouvé un poste qui avait du sens pour moi : analyste marketing dans le secteur du livre. Grande lectrice, ce marché me passionnait. Mais le monde de l’entreprise m’a rapidement déçue. Le sens que je cherchais devenait flou, alors je me suis reconvertie en septembre 2022.

] Comment ta pratique sportive influence-t-elle ta vie au quotidien ?

CAMILLE – Le sport fait partie intégrante de ma vie, depuis toujours. Passer à un métier non sédentaire a cependant beaucoup changé ma façon de m’entraîner. Je faisais auparavant des séances de musculation très exigeantes, mais je n’ai plus l’énergie pour maintenir ce niveau d’intensité en tant que coach.

Cela dit, je ne peux pas imaginer ma vie sans mouvement. C’est un exutoire, une source de relâchement et, parfois, de fierté. Oui, même les profs de yoga doivent travailler sur leur ego !

] Quel est ton objectif à chaque fois que tu rentres dans une salle pour donner un cours ?

CAMILLE – Être 100 % présente pour mes élèves. Une fois le cours commencé, plus rien n’existe que le flow, les indications, et l’attention portée à la posture des participants.

Mon objectif est d’emmener tout le monde avec moi, que chacun·e comprenne les mouvements, découvre son corps, et puisse déconnecter, ne serait-ce qu’un instant.

] Ou trouves-tu ton inspiration pour tes flows ?

CAMILLE – Dans ma pratique personnelle, les cours que je prends, et d’autres disciplines comme le mouvement, la danse ou la mobilité. J’utilise également ce sur quoi je travaille dans mon propre corps à l’instant T, comme la stabilisation d’une articulation ou l’équilibre.

] Quel est ton style musical préféré et pourquoi ?

CAMILLE – Difficile de choisir un seul style musical ! Mes playlists sont très éclectiques : RnB, soul, rock, électro… souvent avec une vibe chill. Spotify me recommande d’ailleurs souvent des morceaux “laid-back” ou électro-chill.

Plus que le style, ce que je cherche dans mes playlists, c’est de créer une ambiance enveloppante et accueillante.

] Raconte-nous la dernière fois que la musique t’a vraiment fait vibrer.

CAMILLE – Dans le quotidien. Chaque fois qu’elle colle parfaitement au moment que je vis. Par exemple, lorsque je suis dans le bus, musique dans les oreilles, et que tout s’emboîte parfaitement : l’état d’esprit, le paysage qui défile…

] Si tu devais donner un conseil pour se sentir bien dans son corps et dans sa tête, ce serait lequel ?

CAMILLE – La compassion. Être plus doux avec soi-même (et avec les autres). On vit dans un monde exigeant, axé sur la performance et la perfection. Ajouter un peu de souplesse, de lâcher-prise, et de courbes dans nos vies fait du bien.

Je pense aussi que les médias et réseaux sociaux déforment notre vision d’un corps “normal”. On oublie souvent tout le travail, la régularité et le temps nécessaires pour être à l’aise dans une activité. Il faut donc replacer les choses dans leur contexte et choisir ses aspirations en toute connaissance de cause.

Je veux emmener tout le monde avec moi, que chacun comprenne son corps et déconnecte, ne serait-ce qu’un instant.

– CAMILLE

] Que pourrais-tu dire à une personne qui n’ose pas pousser la porte de RIISE ?

CAMILLE – Il est important de se retrouver en position de débutant·e régulièrement. Cela permet de rester curieux·se, humble et ouvert·e à l’apprentissage.
Je comprends que cela puisse être intimidant, mais tout est fait pour que votre expérience soit agréable : le staff est adorable, les lieux magnifiques, et tout le matériel est fourni. L’obscurité de la salle aide aussi à se sentir moins observé·e.

] Qu’est-ce qui t’a donné envie de devenir coach ?

CAMILLE – Coach RIISE ? Plusieurs personnes m’ont parlé de RIISE et de ses auditions en une semaine. J’ai testé le cours de Nola, et j’ai été conquise. C’était exaltant, et j’ai voulu offrir cette même expérience.
Prof de yoga en général ? Je pratiquais depuis des années et voulais un métier plus libre et plus porteur de sens que mon poste marketing.

] Une phrase pour décrire RIISE

CAMILLE Puissant et exaltant. L’intensité des enchaînements, le noir, la musique… Tout contribue à décupler les sensations et les émotions.

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CALY

CALY

] D’où viens-tu, parle-nous de ta jeunesse ?

CALYJe suis née à Paris et j’ai grandi à Levallois-Perret jusqu’à mes 18 ans !

Dès le plus jeune âge, j’ai été baignée dans le sport, ayant des parents eux-mêmes très sportifs : danse classique trois fois par semaine au conservatoire ; moderne jazz, hip-hop, et course à pied avec mon père dès l’adolescence. Le sport a vraiment fait partie intégrante de mon éducation, cela a été la base pour apprendre la rigueur, la détermination, mais aussi le bien-être et la confiance en soi à des âges (parfois ingrats) où il peut être difficile de s’assumer tel que l’on est.

] Peux-tu nous parler de ton parcours personnel et professionnel ?

CALY – J’ai toujours été très indécise sur ce que je voulais faire ! Après mon bac, j’ai voulu suivre une filière assez générale pour ne pas m’enfermer dans un domaine en particulier. J’ai toujours été sociable et à l’aise en public, donc il m’a semblé logique de me tourner vers la communication. Après un master en poche et de multiples stages dans des domaines divers et variés (production, restauration, prêt-à-porter, stratégie, etc.), je suis partie à New York pour effectuer mon stage de fin d’études de 6 mois… qui a fini par se transformer en un vrai travail de presque 2 ans !

Ma vie a vraiment basculé à partir de ce moment-là. C’était la première fois de ma vie où je me retrouvais complètement hors de ma zone de confort : nouvelle ville, nouvelle langue, nouveaux amis, nouvelle mentalité. La meilleure expérience de ma vie, qui, je pense, a vraiment contribué à forger ma personnalité actuelle. Je suis finalement revenue à Paris, par raison et par amour, et j’y ai passé de belles années en travaillant dans la mode pour une grande agence de relations presse et publiques internationale. Après le Covid, ma vie a de nouveau basculé lorsque j’ai pris la décision de devenir coach et, depuis… here I am !

] Ou trouves-tu ton inspiration pour tes flows ?

CALY – Je puise mon inspiration de plusieurs manières, mais je travaille surtout au feeling et à l’intuition. J’adore poser mon tapis dans mon salon, partir d’un mouvement que j’aime et y trouver des variations. Ressentir et tester si ce que je ressens me plaît avant d’intégrer des mouvements à mes cours.
Je suis aussi très curieuse et j’aime tester tous les nouveaux concepts, pratiquer avec des coachs qui ne me ressemblent pas forcément. On a toujours quelque chose à retirer d’un cours, que ce soit en positif ou en négatif !

] Comment ta pratique sportive influence-t-elle ta vie au quotidien ?

CALY – Le mouvement est un peu mon remède magique contre tout. Je l’ai encore plus compris quand j’ai commencé à enseigner.
Comme tout le monde, j’ai des jours avec et des jours sans. Je suis souvent anxieuse, j’y travaille beaucoup, mais je sais pertinemment qu’à la minute où je prends ma première respiration sur le tapis, j’oublie tout le reste. Prendre quelques instants de ma journée pour me concentrer sur mes mouvements et rien d’autre, c’est vraiment mon équilibre physique et mental.

renforcement musculaire

] Quel est ton objectif à chaque fois que tu rentres dans une salle pour donner un cours ?

CALY – Je fonctionne vraiment avec l’énergie de la salle ! Je veux essayer de communiquer un maximum d’énergie positive pour instaurer une véritable “safe place” dans mes cours. Aider mes élèves à prendre confiance en eux, en les accompagnant au maximum, quel que soit leur niveau. Plus je vois de sourires à la sortie de la salle, plus je me sens accomplie, et plus j’aime mon métier !

] Quel est ton style musical préféré et pourquoi ?

CALY – Le RnB et le hip-hop des années 90/2000, une véritable passion ! Je me souviens encore écouter les mêmes titres en boucle sur mon iPod quand j’étais ado. Une nostalgie qui fait du bien !!

] Raconte-nous la dernière fois que la musique t’a vraiment fait vibrer.

CALY – C’était lors d’une cérémonie de mariage. J’ai redécouvert une chanson que j’avais oubliée et que j’aime énormément, “To Zion” de Lauryn Hill. Ce titre incroyable, mêlé à un moment si solennel et à l’émotion qui l’accompagnait, m’a donné des frissons !

Prendre quelques instants de ma journée pour me concentrer sur mes mouvements et rien d’autre, c’est vraiment mon équilibre physique et mental.

– CALY

] Si tu devais donner un conseil pour se sentir bien dans son corps et dans sa tête, ce serait lequel ?

CALY – Tout est une question d’équilibre ! Il ne faut pas être trop dur avec soi-même. C’est super d’avoir des objectifs, mais il faut avant tout se faire confiance et prendre son temps pour y arriver.

] Que pourrais-tu dire à une personne qui n’ose pas pousser la porte de RIISE ?

CALY – On me dit souvent : “J’aimerais trop faire ton cours, mais j’ai trop peur de ne pas être à la hauteur.” Je trouve ça tellement dommage ! RIISE, c’est vraiment le seul moment de ta journée où tu vas prendre du temps pour toi. Plongé dans la pénombre et à la lumière des bougies, tu progresses à ton rythme et déconnectes dans ta bulle. Quel que soit ton niveau et ton objectif, tu te sentiras encore plus fort en sortant de la salle !

] Qu’est-ce qui t’a donné envie de devenir coach ?

CALY – Me réveiller chaque matin en faisant ce que j’aime !

] Une phrase pour décrire RIISE

CALY – Une parenthèse qui fait du bien.

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gainage abdos

VINCE

VINCE

] D’où viens-tu, parle-nous de ta jeunesse ?

VINCE Je suis né à Toulouse, mais j’ai passé toute mon enfance et mon adolescence à la campagne, au nord de la région toulousaine, près de la Garonne.

Je passais mes journées dehors, soit dans les champs de mes grands-parents maraîchers, soit sur la place de mon village avec mes amis d’enfance.

Une jeunesse active et studieuse, entre amis, terrains de handball et livres.

] Peux-tu nous parler de ton parcours personnel et professionnel ?

VINCEJe voulais être commissaire priseur, donc j’ai eu un master en droit et un master en histoire de l’art.

Premier travail post-études dans une librairie.

À côté, je me suis mis à rouler chez dynamo et j’ai eu un coup de cœur pour la discipline, le lieu, l’équipe.

J’ai décidé de travailler auprès d’eux.

Au fur et à mesure, j’ai passé mes diplômes de coach sportif, de professeur de yoga, de pilates et de mobilité fonctionnelle, afin de proposer des séances qui reflètent ma personnalité.

] Où trouves-tu ton inspiration pour tes flows ?

VINCE90% de mon inspiration vient des livres, des films, de l’écoute d’albums, d’expositions ou des discussions avec mon entourage. Les 10% restants se trouvent dans ce que je peux voir sur Instagram et ce qui me semble intéressant à essayer de reproduire.

Je médite aussi (2 à 3 minutes maximum) afin de m’installer dans une atmosphère propice à explorer.

Puis, j’écris ce que je ressens en trois ou quatre mots clés.

Enfin, je développe avec un thème et des mouvements.

À la fin, je visualise le flow pour voir où ajouter ou enlever des choses.

] Comment ta pratique sportive influence-t-elle ta vie au quotidien ?

VINCEElle influence pleinement ma vie.

Les séances m’apportent de la joie, de la fraîcheur mentale et physique, ce qui est formidable.

Je termine mes journées avec un goût d’accomplissement personnel et d’appartenance à un collectif.

] Quel est ton objectif à chaque fois que tu rentres dans une salle pour donner un cours ?

VINCEJe ne vise pas d’objectif.

J’entre à chaque fois avec le devoir de rester concentré, dédié et fidèle à ce que je souhaite proposer à la clientèle.

] Quel est ton style musical préféré et pourquoi ?

VINCELe jazz pour stimuler ma créativité et me rendre incroyablement heureux.

La musique expérimentale pour m’étonner et m’aider à naviguer dans tous les endroits de mon être.

] Raconte-nous la dernière fois que la musique t’as vraiment fait vibrer ?

VINCELa semaine dernière, j’ai découvert l’album « 広い世界 と せまい世界 » de Rei Harakami.

Les 39 morceaux m’ont amené dans un autre univers.

“… Les séances m’apportent de la joie, de la fraîcheur mentale et physique, ce qui est formidable.

Je termine mes journées avec un goût d’accomplissement personnel et d’appartenance à un collectif.”
– VINCE

] Si tu devais donner un conseil pour se sentir bien dans son corps et dans sa tête, ce serait lequel ?

VINCEPréférer le « mieux » au « plus ».

Chercher ce qui nous émeut et verbaliser ses émotions.

Boire beaucoup d’eau.

Faire des siestes.

Méditer.

Lire.

] Que pourrais-tu dire à une personne qui n’ose pas pousser la porte de RIISE ?

VINCE – Tu es si proche d’une belle expérience, viens – entre.

Nous t’accueillerons avec bienveillance, proximité et un sourire franc.

] Qu’est-ce qui t’a donné envie de devenir coach ?

VINCE – L’envie de vivre de l’enseignement d’activités aussi physiques que créatives comme celles de Monday.

] Un mot pour décrire RIISE

VINCEInspirant

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EVA

EVA

] D’où viens-tu, parle-nous de ton enfance ?

EVA Je suis née à Chantilly dans l’Oise, j’ai fait toute ma scolarité là-bas. Je suis partie vivre à Paris à mes 20 ans quand j’ai voulu accorder tout mon temps au mannequinat.

] Peux-tu nous parler de ton parcours personnel et professionnel ?

EVA – Après mon BAC ES, j’ai arrêté pendant un an mes études pour travailler en tant que mannequin dans différents pays. Je suis allée à Taïwan et New York plusieurs mois. J’ai adoré mais c’était difficile parce que je me suis sentie très seule. Je pense que j’étais trop jeune, j’ai eu du mal à m’acclimater à de nouveaux environnements.

 Alors après cette année, j’ai repris des études en commerce, pendant deux ans. Je me suis beaucoup investie mais je savais au fond de moi que je ne travaillerais jamais dans ce domaine. 

Après avoir été diplômée, j’ai décidé de reprendre le mannequinat à temps plein. J’ai de nouveau voyagé notamment à Tokyo, une expérience que j’ai adoré mais qui m’a fait réaliser que l’endroit où je me sentais le mieux était Paris (je me suis faite tatouer une Tour Eiffel sur la cheville quand j’étais à New York et que j’avais le mal du pays !)

J’ai continué à travailler en France, et ce pendant plus de dix ans. Avec l’arrivée d’Instagram, l’activité a beaucoup changé. J’ai cherché d’autres pistes de carrière, je me suis formée à la fabrication de bijoux, j’ai monté une marque qui n’existe plus aujourd’hui faute de temps. Ce n’est que récemment, il y a trois ans, que je me suis formée en France et en Inde à l’enseignement du yoga. Je poursuis cette piste aujourd’hui avec le pilates et peut-être que j’élargirais encore un peu plus ça au fil du temps. J’ai du mal à tenir en place malgré mon calme apparent !

] Où trouves-tu ton inspiration pour tes flows ?

EVAC’est assez aléatoire. Je peux très bien me mettre sur mon tapis, réfléchir et bouger, un mouvement après l’autre et un flow se crée. Je peux aussi choisir une posture, ou un thème et construire le flow autour de ça.

Parfois, je prends un cours avec un prof, j’aime bien un mouvement, une posture revisitée et j’essaie d’en faire autre chose.

] Comment ta pratique sportive influence-t-elle ta vie au quotidien ?

EVAJe pense que la plupart du temps, on commence à faire du sport pour les bienfaits physiques et l’aspect extérieur du corps. C’est comme ça que je me suis mise au sport. C’est important, c’est vrai, mais si on s’attache uniquement à ça, on perd une partie des bienfaits de l’activité physique. 

Aujourd’hui, le sport me permet de me déconnecter. Le temps de la séance, je ne pense à rien d’autre, je n’ai pas de téléphone.

De nature anxieuse, je me pose 100 questions à la minute et j’intériorise beaucoup ce qui m’arrive, on dit souvent de moi que je me noie dans un verre d’eau. Après une séance de sport, tout me semble plus clair et les choses deviennent plus faciles à gérer.

Le sport m’aide vraiment à m’apaiser mentalement. Et pour apprendre à apprécier les bénéfices du sport, c’est assez simple : il faut noter comment on se sent avant une séance (stress, agitation…) et après la séance (fierté, sérénité etc).

] Quel est ton objectif à chaque fois que tu rentres dans une salle pour donner un cours ?

EVAJ’essaie de faire lâcher prise mentalement aux personnes à qui je donne cours. Leur faire remarquer qu’en ayant bougé pendant 50 minutes, les aléas du quotidien se sont un peu éloignés. Peu importe si on réussit à faire tout ce que je demande de faire, le fait d’avoir essayé est déjà énorme.

] Quel est ton style musical préféré et pourquoi ?

EVAElectro, house, des sons planants et dépaysants. C’est ce que j’écoute seule ou que j’aime entendre quand je sors. Je trouve ça très adapté au yoga et au format RIISE : on est moins tenté de tourner son attention sur des sons connus avec beaucoup de paroles, dans les flows on reste focus sur ce qu’on est en train de faire. 

Je ne propose pas trop de musiques commerciales sauf pour les Burns et les bras du Pilates parce que je trouve ça motivant de connaître la chanson et de bouger en rythme dessus. Mais je ne suis pas très au fait des dernières sorties commerciales, donc ce sont des trucs que j’écoutais plus jeune.

Maîtrisez les postures de yoga

“…C’est peut-être ça parfois qui freine : la peur du jugement, et si j’y arrive moins que les autres ? En étant dans la pénombre, on se retrouve dans une bulle, et ça laisse aussi moins de place à la comparaison.”
– EVA

] Si tu devais donner un conseil pour se sentir bien dans son corps et dans sa tête, ce serait lequel ?

EVA – Dormir ! Depuis que je suis coach, je vois l’importance d’un sommeil de qualité. Si je peux, je me couche après le dîner, à 22 heures. La fatigue joue sur le moral et la motivation, ce n’est pas tous les jours facile à mettre en place, mais dormir suffisamment c’est essentiel.

Mais aussi, évidemment, pratiquer une activité physique régulière : s’accorder du temps, une pause rien que pour soi. Pour faire travailler le corps et se vider la tête.

] Que pourrais-tu dire à une personne qui n’ose pas pousser la porte de RIISE ?

EVA C’est vrai que ça peut paraître impressionnant quand on ne connaît pas. Mais déjà, dès l’accueil le staff te guide et t’oriente, à aucun moment tu te retrouves perdu dans les lieux. Je dis ça parce que personnellement, j’ai toujours un petit stress quand je pénètre dans un lieu que je ne connais pas pour la première fois. Aussi, la pratique est dans la pénombre, donc personne ne se voit réellement et s’observe.

] Qu’est-ce qui t’a donné envie de devenir coach ?

EVAIl y a quelques années, j’allais tous les jours pédaler à dynamo. Je trouvais les coachs inspirants, j’adorais l’univers, la pénombre, les bougies, le dépassement de soi. Quand j’ai testé RIISE, je n’enseignais pas encore, mais c’était dans un coin de ma tête, je me suis dit : « si je deviens prof de yoga, j’adorerais enseigner ici ! » 

Le format hybride RIISE, yoga et cardio, me semblait parfait en alliant tout ce que j’aime.

] Un mot pour décrire RIISE

EVA – C’est écrit sur le mur du studio, je trouve que ça résume bien l’expérience et je n’ai pas trouvé mieux : « inattendue intensité »

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AXEL

AXEL

] D’où viens-tu, parle-nous de ton enfance ?

AXEL

Je suis né en banlieue parisienne et j’ai vécu à peu près toute ma vie entre Paris et sa banlieue.

Sans m’étaler sur ma vie, j’ai grandi dans un contexte familial assez commun avec mes 2 sœurs. La séparation de mes parents lorsque j’avais 10 ans a un peu bousculé les choses, mon opération de la jambe à 13 ans aussi.

Ces petites encoches dans ma jeunesse ont permis de créer du grain sur une enfance qui aurait été assez plate sinon.

J’étais un enfant assez timide et introverti, ma cicatrice à la jambe a été un frein vers la pratique sportive que j’ai vraiment découverte à 19 ans en commençant la boxe Thaï.

Je crois que les sports que j’ai pratiqué (yoga, escalade, boxe, handstand) m’ont permis de me réconcilier avec moi-même et de mieux accepter ma personnalité introvertie.

J’ai grandi dans un contexte qui sous-entendait que les pratiques du corps sont des pratiques « stupides » et que l’intellect se trouve ailleurs (dans les maths, la lecture, la musique …). C’est vraiment une des dichotomies les plus inexactes et condescendantes que je connaisse, les pratiques du corps sont des pratiques hyper intellectuelles, et c’est dans le monde du yoga que j’ai rencontré les gens les plus brillants que je connaisse.

] Peux-tu nous parler de ton parcours personnel et professionnel ?

AXELJ’ai toujours bien aimé les maths, et du coup assez naturellement je me suis orienté vers une filière scientifique en passant par une prépa puis une école d’ingénieur en génie civil.

En parallèle, j’ai vraiment commencé le sport autour de 19 – 20 ans en m’inscrivant dans un club de boxe (lorsque je suis rentré en école d’ingénieur) et ça a été une révélation qui ne m’a pas lâché depuis (j’ai 29 ans)

Pour ce qui est du yoga, c’est ma meilleure amie Victoria qui me l’a fait découvrir durant l’été 2018, j’ai tout de suite adoré la pratique posturale et les sensations de calme et de clarté mentale qui suivaient la pratique. Le studio dans lequel j’ai ensuite pratiqué proposait une formation de 200h pour devenir prof, et c’est comme ça que je me suis mis à enseigner le yoga à partir de Janvier 2020.

En fin 2020, au milieu des différents confinements et de l’isolation qui les a accompagnés, je choisis de quitter mon métier d’ingénieur sans vraiment savoir ce que j’allais faire… et la suite vous la connaissez.

] Ou trouves-tu ton inspiration pour tes flows ?

AXEL – Instagram est une grosse source d’information et d’inspiration (malgré tout ce qu’on peut lui reprocher) mais de façon générale, le mouvement, les pratiques corporelles, la danse, le cirque, tout ça contribue à m’inspirer plus ou moins directement pour les flows que je propose.

Je prends aussi soin de beaucoup me former (dans le yoga et dans les pratiques de mouvement plus généralement) pour faire évoluer mon enseignement dans une direction plus fondée, précise, et juste par rapport à mes convictions.

] Comment ta pratique sportive influence-t-elle ta vie au quotidien ?

AXELMa pratique sportive prend une place très importante dans ma vie, certains pourraient d’ailleurs trouver cela excessif. Depuis 5 ans je pratique l’équilibrisme (sur les mains) qui est un hobby très chronophage, en complément duquel je pratique toujours le yoga, et le renforcement musculaire comme fondation pour garder mon corps en bonne santé et continuer à faire ce que j’aime faire.

En gros, je pratique entre 5 et 6 fois par semaine, pour un total d’environ 15h par semaine (évidemment dans une intensité basse)

] Quel est ton objectif à chaque fois que tu rentres dans une salle pour donner un cours ?

AXELMon objectif principal c’est de faire en sorte que les gens se sentent bien en ressortant du cours. 

] Quel est ton style musical préféré et pourquoi ?

AXELJ’ai grandi en écoutant du rock, c’est d’ailleurs toujours un de mes styles musicales préféré. 

Mais enseigner chez RIISE m’a poussé à m’ouvrir à une palette hyper large de styles et d’artistes, ce qui rend l’exercice de définir mon style assez difficile. 

Du coup je te propose de venir le découvrir en prenant un cours avec moi.

] Si tu devais donner un conseil pour se sentir bien dans son corps et dans sa tête, ce serait lequel ?

AXELDormir. C’est vraiment simpliste mais s’arranger pour dormir en moyenne 8h par nuit c’est vraiment ça le cheat code.

Aujourd’hui, on est bombardés de biohack sur les réseaux visant à être plus performant, mieux récupérer, être plus souple ou plus fort… Mais littéralement aucune de ces solutions un peu miraculeuses n’arrive à la cheville d’une bonne nuit de sommeil.

Ah et j’ajouterais que si on vous promet quelque chose qui à l’air un peu trop beau pour être vrai, c’est probablement que ça l’est. Malheureusement, les gens mentent sur internet, réinterprète des études voire en publient avec de gros conflits d’intérêt.

Donc économisez en arrêtant d’acheter des compléments alimentaires sophistiqués et investissez dans un bon lit à la place.

] Que pourrais-tu dire à une personne qui n’ose pas pousser la porte de RIISE ?

AXELLe plus important c’est de se mettre en mouvement, peu importe le niveau, la souplesse ou l’âge. 

Je pense que RIISE a cette force à travers la pénombre et le cadre intimiste d’être rassurant pour les personnes qui ne sont pas forcément à l’aise avec l’idée de faire du sport.

“…faire en sorte que les gens se sentent bien en ressortant du cours.”
– AXEL

] Qu’est-ce qui t’a donné envie de devenir coach ?

AXELInitialement, je suis devenu coach par envie de rendre ce qu’on m’avait apporté, c’est quelque chose qui avait du sens pour moi.

Aujourd’hui, c’est toujours quelque chose qui m’anime, mais j’ai également envie d’apporter davantage de sérieux, de bon sens et de clarté dans le monde du yoga (et c’est la raison pour laquelle je me tourne de plus en plus vers la formation).

] Un mot pour décrire RIISE

AXELImmersive.

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NOLA

NOLA

] D’où viens-tu, parle-nous de ton enfance ?

NOLA – J’ai grandi en région parisienne quasiment toute ma vie. Enfant je n’étais pas du tout sportive, ce n’est pas quelque chose avec lequel j’ai grandi.

J’ai en revanche fait énormément d’équitation, une passion qui m’a été transmise par ma mère mais j’ai arrêté assez tôt vers 15 ans. J’étais plutôt timide, toujours en train de lire.

J’ai découvert le plaisir du sport avec la pratique du yoga qui m’avait été conseillée par mon kiné après ma première opération des ligaments croisés. Coup de foudre immédiat.

] Peux-tu nous parler de ton parcours personnel et professionnel ?

NOLA – J’ai passé un master de psychologie clinique et de psychopathologie en 2015. Depuis, j’exerce en tant que psychologue clinicienne.

J’ai travaillé 3 ans en psychiatrie adulte en tant que psychologue avant de m’installer en libéral quand l’enseignement du yoga a commencé à prendre plus de place.

Aujourd’hui je cumule les deux casquettes et j’adore ça. Je continue de me former dans l’un comme dans l’autre avec grand plaisir et je ne me verrais vraiment pas en arrêter un.

] Ou trouves-tu ton inspiration pour tes flows ?

NOLA – Je pense que je trouve mon inspiration dans le mouvement en général. J’aime tout ce qui est flowy, j’adore la souplesse mais j’aime particulièrement l’approcher en contrôle avec un engagement musculaire.
Je cours, je vais à la salle, je grimpe de temps en temps.

Tout ça ce sont des sources d’inspirations en soi car ce sont des manières différentes de connecter à son corps.
J’essaie aussi de continuer à prendre les cours d’autres profs quand j’ai le temps (trop rarement) mais surtout ce sont des moments où juste j’explore sur mon tapis sans prévoir.

] Comment ta pratique sportive influence-t-elle ta vie au quotidien ?

NOLA – Le sport à une grande place dans ma vie privée mais aussi sociale.

Ce sont des moments que j’aime beaucoup partager même si j’apprécie aussi de pratiquer ou de courir seule. C’est vraiment devenu quelque chose d’essentiel dans mon quotidien. Ça me permet de relâcher la pression, de faire le vide, mais ce sont aussi des moments de plaisir et d’échanges quand je suis avec des amis !

C’est aussi un moyen de connecter à moi-même, de me sentir capable, de me sentir fière de ce que je fais.

] Quel est ton objectif à chaque fois que tu rentres dans une salle pour donner un cours ?

NOLA – Juste de transmettre un truc de bienveillance et de lâcher prise.

Peu importe le niveau, la performance, mon but c’est que les gens explorent, se fassent confiance. Je souhaite qu’ils sortent avec ce petit truc de plaisir et de confiance en soi et en son corps.

] Quel est ton style musical préféré et pourquoi ?

NOLA – J’ai un style très éclectique mais principalement le rnb, passion transmise par mes parents. J’ai grandi avec ce style musical et les films de danse style Step up ou Street dancer.

] Si tu devais donner un conseil pour se sentir bien dans son corps et dans sa tête, ce serait lequel ?

NOLA – Se détacher de l’extérieur, juste bouger pour soi, faire pour soi indépendamment du regard des autres, trouver quelque chose qui nous plaise vraiment.

] Que pourrais-tu dire à une personne qui n’ose pas pousser la porte de RIISE ?

NOLA – Je lui dirais de se détacher des attentes et de se faire confiance, de faire confiance à la musique et à l’énergie de la salle.

Se détacher de l’extérieur, juste bouger pour soi, faire pour soi indépendamment du regard des autres.
Trouver quelque chose qui nous plaise vraiment.
– NOLA

] Qu’est-ce qui t’a donné envie de devenir coach ?

NOLA – Ma copine Ludivine ahah. J’adore la musique et j’adore enseigner.

Riise c’était l’occasion de mêler les deux. De partager la pratique que j’aime et mon univers musical.
Je trouve que l’alliance des deux permet de faire passer plein de choses.

] Un mot pour décrire RIISE

NOLA – Planer, relâcher, explorer .

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LUDIVINE

LUDIVINE

] D’où viens-tu, parle-nous de ton enfance ?

LUDIVINE – Je viens de Normandie mais j’ai vécu la majeure partie de mon adolescence à Montpellier car mes parents ont déménagé là-bas quand j’avais 15 ans. J’ai une sœur d’un an mon aînée qui vit dans le Sud de la France également.

] Peux-tu nous parler de ton parcours personnel et professionnel ?

LUDIVINE – Être professeure de yoga est une reconversion professionnelle. J’ai été avocate et juriste pendant quelques années avant de me consacrer à l’enseignement du yoga. J’ai beaucoup aimé mes études de droit, la théorie, mais la réalité du monde du travail en salariat m’a rattrapé. Je n’étais pas épanouie et j’avais l’impression d’être enfermée.
Je crois que j’ai une âme d’indépendante qui me vient de ma famille. Ma reconversion n’a pas été un long fleuve tranquille, semé de doutes et de questionnements mais je suis complètement alignée et épanouie avec ce que je fais aujourd’hui.
Si l’histoire de ma reconversion professionnelle vous intéresse vous pouvez écouter mon Podcast les Yogis Preneurs où j’y consacre un épisode : le lien est ici.
J’ai beaucoup voyagé et je me suis formée en Inde. C’est une des plus belles périodes de ma vie !

] Ou trouves-tu ton inspiration pour tes flows ?

LUDIVINE – Sur mon tapis, en explorant ma pratique, mais aussi en prenant des cours d’autres professeurs qui m’inspirent, en essayant parfois de sortir du cadre strict du yoga via d’autres disciplines.

Je suis quelqu’un de très pragmatique donc j’ai besoin que tout soit cadré et logique (mon côté fac de droit) tout en infusant quelques touches de créativité.

] Comment ta pratique sportive influence-t-elle ta vie au quotidien ?

LUDIVINE – Je me demande toujours comment font les personnes qui ne font pas du tout de sport. Ce n’est pas un jugement mais un réel questionnement.

Faire du sport permet de se recentrer, de se dépenser, de se déconnecter … pour moi il est essentiel dans l’équilibre de ma vie et à mon bonheur.

] Quel est ton objectif à chaque fois que tu rentres dans une salle pour donner un cours ?

LUDIVINE – Je n’ai pas d’objectif à proprement parler mais je dirais que j’aspire à faire du bien aux gens. Mon métier a beaucoup de sens pour moi car il permet de rendre la journée plus agréable pour quelqu’un.

Il n’y a pas plus beau pour moi que de voir l’évolution d’un élève qui vient pour la première fois à un cours de yoga et quand c’est la dixième, la vingtième fois … et qu’on le voit s’épanouir sur son tapis et gagner en conscience corporelle.

J’aspire à ce que les gens touchent du doigt tout ce que le yoga (et toute pratique sportive en général) peut leur apporter dans leur vie en général.

] Quel est ton style musical préféré et pourquoi ?

LUDIVINE – J’écoute beaucoup d’Indie Rock, car ma meilleure amie d’enfance est une férue de ce style : j’ai donc toujours baigné dedans. Maintenant je m’ouvre un peu plus à d’autres styles et notamment pour RIISE je préfère trouver des musiques plus chill, enivrantes, sans ou avec très peu de paroles.

Je trouve que cela permet d’emporter beaucoup dans l’expérience.

] Si tu devais donner un conseil pour se sentir bien dans son corps et dans sa tête, ce serait lequel ?

LUDIVINE – Faire du sport, celui qui vous correspond et vous plait. Faire des choses simples et les apprécier. Essayer des activités créatives/manuelles.

] Que pourrais-tu dire à une personne qui n’ose pas pousser la porte de RIISE ?

LUDIVINE – De mettre de côté ses aprioris et d’essayer, il se passe de belles choses derrière la porte et c’est ouvert à tous.

Faire du sport, celui qui vous correspond et vous plait. Faire des choses simples et les apprécier. – LUDIVINE

] Qu’est-ce qui t’a donné envie de devenir coach ?

LUDIVINE – J’ai débuté l’aventure RIISE grâce à la rencontre avec Gabrielle, headcoach RIISE, en qui j’ai confiance. Je me suis dit que ce serait forcément quelque chose de bien si elle en faisait partie. Puis je me suis prise au jeu : du micro, de la salle dans la pénombre, de l’énergie, de la précision verbale, d’un tout … qui fait qu’aujourd’hui je prends beaucoup de plaisir à être coach chez RIISE.

] Un mot pour décrire RIISE

LUDIVINE – Puissant.

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